Ihre Suchergebnisse (20 gefunden)

Product CD |veröffentlicht: Nov 3, 2023 inSANE

"Mit feinem Anschlag, kluger Phrasierung und viel Sensibilität geht sie [Jimin Oh-Havenith] diese vielschichtige Musik an, die nicht nur in ihrer ganzen Komplexität ausgelotet, sondern auch brillant und spannend kontrastreich gespielt wird." (Pizzicato)
Interpreten
Jimin Oh-Havenith
Composer
Robert Schumann
Süddeutsche Zeitung

Rezension Süddeutsche Zeitung 21. Januar 2019 | Harald Eggebrecht | January 21, 2019 Noble Wehmut

Die Etüden op. 12, vier Polonaisen und das Fantaisie-Impromptu op. 66 von Frédéric Chopin stellt Bolet leuchtend transparent, durchaus auch mit machtvollem Zugriff, aber nie als bloße Pianistik dar. Robert Schumanns f-moll-Sonate op. 14 wird zum nachdenklichen Fest romantischer Erregungen, Claude Debussys "Images II" werden zu traumverlorenen Gebilden, gewonnen aus feinstem Klanggespür.
www.musicweb-international.com

Rezension www.musicweb-international.com Friday April 5th | Jonathan Woolf | April 5, 2019 This 3-CD set is the third and final volume in the sequence of Berlin radio...

This 3-CD set is the third and final volume in the sequence of Berlin radio recordings made by Jorge Bolet. Recorded between 1961 and 1974 all the pieces are new to disc with the single exception of Leopold Godowsky’s Fledermaus ‘symphonic metamorphosis’ and were made available to Audite by Donald Manildi of the International Piano Archives, University of Maryland. What’s especially valuable is the amount of material new to Bolet’s discography – Beethoven’s Fifth Piano Concerto in a Paris concert recording, Debussy’s Masques and Images (Book II), Norman Dello Joio’s Second Sonata, Schumann’s Third Sonata, Chopin’s Polonaises 3, 4 and 6 and the complete Chopin Op.25 Etudes.

The Etudes were recorded in 1968 in splendid sound with Bolet on powerfully communicative form, bringing a rich coloristic palette to the Aeolian Harp, drollery to No.4, plangency to No.7 and true con fuoco to No.10. If No.9 tends to float less like a butterfly and sting rather more like a bee, the Winter Wind has an irradiating ferocity to it. His 1974 Beethoven Concerto performance in Paris with the Berlin Radio Symphony and Moshe Atzman – a decided asset throughout – offers robust and commanding power in similarly fine stereo sound. Some of the wind harmonies sound rather jarring, but the horns are on impressive form and Bolet proves expressive and technically accomplished. It’s a reading that marries majesty with sensitivity.

Both Schumann’s Third Sonata and Grieg’s Ballade in G minor are heard in mono. The former receives a particularly attractive reading, notably in the third movement variations, whilst the Grieg is at its very best when Bolet explores the music’s flightier variations, notably an ingeniously witty Allegro capriccioso and the burlesque frivolity of No.10. Was it for reasons of radio timing that Bolet cut the music – for example he excises the whole of No.12? Altogether around three minutes (or so) of music is lost. Franck’s Prélude, Aria et Final is another example of his way with a work that is also available on a Marston release.

The final disc is quite wide ranging, and includes a bullish Chopin Andante spianato and Polonaise, those three characterful Polonaises, heard in excellent 1966 stereo, and a richly contoured Images Book II. Of particular interest in the light of Bolet’s promotion of new music is Dello Joio’s Second Sonata of 1943 (January 1966, stereo). Full of rhythmic vivacity and astringent sonorities its harmonically drifting slow movement is equally well surveyed by Bolet. Just what would his Bartók have sounded like? His Godowsky offers a suitably ebullient and virtuoso envoi.

The remastering does as much justice to Bolet’s tonal qualities as it can – which is a significant amount – and Wolfgang Rathert’s bi-lingual notes are succinct and helpful.
www.pizzicato.lu

Rezension www.pizzicato.lu 08/07/2022 | July 8, 2022 Jimin Oh-Havenith mit russischer Musik

Die vierte CD der südkoreanischen Pianistin Jimin Oh-Havenith für audite widmet sich russischer Musik. Die 1874 komponierten Bilder einer Ausstellung von Modest Mussorgsky stellt sie in einer dramatischen und visualisierenden Interpretation vor. Das ergibt sehr stimmungsvolle Bilder wie das melancholische gezeichnete Alte Schloss, das ungelenke Torkeln der Küken oder das herzergreifende Bitten des armen Schmuyle.

Die vier Stücke von Scriabin zeigen den Weg vom noch romantischen Prélude op. 2/2 bis zum op. 48/2, das zwar fein differenziert und auch spannend gespielt wird, für das ich mir allerdings klarere Texturen gewünscht hätte.

Die vier Préludes von Sergei Rachmaninov spielt Jimin Oh-Havenith mit einem guten Klanggefühl, sehr differenzierend, mit sehr präziser und feiner Phrasierung, transparent und mit einer breiten Farbpalette.


South Korean pianist Jimin Oh-Havenith’s fourth CD for audite is devoted to Russian music.

She presents Modest Mussorgsky’s Pictures at an Exhibition in a very dramatic and visualizing interpretation. This results in atmospheric images like the melancholic drawn Old Castle, the awkward staggering of the chicks or the heartrending pleading of poor Schmuyle.

The four pieces by Scriabin show the way from the still romantic Prélude op. 2/2 to op. 48/2, which is finely differentiated and also excitingly played, but for which I would have liked more transparent textures.

The four Préludes by Sergei Rachmaninov are played by Oh-Havenith with a good feeling for sound, very differentiating, with precise and fine phrasing, transparent and with a wide palette of colors.
Diapason

Rezension Diapason N° 582 Juillet-Aout 2010 | Jean Cabourg | June 28, 2010 Audite nous ouvrait en 2007 les archives de la Radio de Cologne avec un génial...

Audite nous ouvrait en 2007 les archives de la Radio de Cologne avec un génial doublet Dietrich Fischer-Dieskau (Schumann et Brahms, cf. n° 548), suivi l'an dernier de documents berlinois (cinq CD centrés autour de Wolf, Beethoven et Schubert, cf. n° 565). La plupart des gravures dataient des années 1950. Les quatre nouvelles parutions reprennent en couverture des portraits du jeune baryton, mais nous offrent des enregistrements (de radio, là encore) bien ultérieurs – la plupart renvoient aux années 1970 voire à 1989.

L'éditeur nous promet des inédits, et nous invite au jeu des comparaisons avec les studios Emi et Deutsche Grammophon de la même époque. Pas sûr qu'après Barenboim et Richter, le clavier passemuraille de Tamas Vasary justifie un retour vers des Brahms déjà honorés au mieux. A la vigoureuse clarté du chant, à la véhémente autorité des mots et à leur humanité, le piano ne répond souvent que de manière objective et plate.

Barenboim est lui bien présent et actif, mais immergé dans un ensemble mahlérien ouvertement conçu pour l'orchestre. Passés les lieder de jeunesse où la voix mixte du baryton joue les ténors déliés, la table d'harmonie du pianiste ne suffit pas dans les Rückert, moins encore dans les Chants d'un Compagnon errant ou le Knaben Wunderhorn, à calmer une certaine frustration. Reste les prouesses sans filet du chanteur en équilibre sur la crête de l'ironie blafarde.

La voix domine sans partage quand la capiteuse Julia Varady épouse à ses côtés les courbes des duos schumanniens, ceux particulièrement des Opus 37, 34 et 78, pour ténor (sic) et soprano. Retour en 1951, avec Beethoven et ses Lieder von Gellert, bien supérieurs à la relecture émaciée de 1982.

Les raretés sont à chercher du côté de Reger, de ses chants sacrés avec orgue, où la voix se diapre d'angélisme, de la catharsis religieuse du Suisse Sutermeister et enfin du grand Hindemith. Celui que ce dernier nommait son «barde» déclame comme personne la fine fleur du romantisme allemand, revisitée par le plus secret des maîtres. Rien de Fischer-Dieskau ne méritant l'oubli, on complétera la somme de ses gravures d'exception avec ces instantanés sans apprêt, images éclatées de sa haute maturité artistique.
Diapason

Rezension Diapason N° 582 Juillet-Aout 2010 | Jean Cabourg | June 28, 2010 Audite nous ouvrait en 2007 les archives de la Radio de Cologne avec un génial...

Audite nous ouvrait en 2007 les archives de la Radio de Cologne avec un génial doublet Dietrich Fischer-Dieskau (Schumann et Brahms, cf. n° 548), suivi l'an dernier de documents berlinois (cinq CD centrés autour de Wolf, Beethoven et Schubert, cf. n° 565). La plupart des gravures dataient des années 1950. Les quatre nouvelles parutions reprennent en couverture des portraits du jeune baryton, mais nous offrent des enregistrements (de radio, là encore) bien ultérieurs – la plupart renvoient aux années 1970 voire à 1989.

L'éditeur nous promet des inédits, et nous invite au jeu des comparaisons avec les studios Emi et Deutsche Grammophon de la même époque. Pas sûr qu'après Barenboim et Richter, le clavier passemuraille de Tamas Vasary justifie un retour vers des Brahms déjà honorés au mieux. A la vigoureuse clarté du chant, à la véhémente autorité des mots et à leur humanité, le piano ne répond souvent que de manière objective et plate.

Barenboim est lui bien présent et actif, mais immergé dans un ensemble mahlérien ouvertement conçu pour l'orchestre. Passés les lieder de jeunesse où la voix mixte du baryton joue les ténors déliés, la table d'harmonie du pianiste ne suffit pas dans les Rückert, moins encore dans les Chants d'un Compagnon errant ou le Knaben Wunderhorn, à calmer une certaine frustration. Reste les prouesses sans filet du chanteur en équilibre sur la crête de l'ironie blafarde.

La voix domine sans partage quand la capiteuse Julia Varady épouse à ses côtés les courbes des duos schumanniens, ceux particulièrement des Opus 37, 34 et 78, pour ténor (sic) et soprano. Retour en 1951, avec Beethoven et ses Lieder von Gellert, bien supérieurs à la relecture émaciée de 1982.

Les raretés sont à chercher du côté de Reger, de ses chants sacrés avec orgue, où la voix se diapre d'angélisme, de la catharsis religieuse du Suisse Sutermeister et enfin du grand Hindemith. Celui que ce dernier nommait son «barde» déclame comme personne la fine fleur du romantisme allemand, revisitée par le plus secret des maîtres. Rien de Fischer-Dieskau ne méritant l'oubli, on complétera la somme de ses gravures d'exception avec ces instantanés sans apprêt, images éclatées de sa haute maturité artistique.
Diapason

Rezension Diapason N° 582 Juillet-Aout 2010 | Jean Cabourg | May 28, 2010 Audite nous ouvrait en 2007 les archives de la Radio de Cologne avec un génial...

Audite nous ouvrait en 2007 les archives de la Radio de Cologne avec un génial doublet Dietrich Fischer-Dieskau (Schumann et Brahms, cf. n° 548), suivi l'an dernier de documents berlinois (cinq CD centrés autour de Wolf, Beethoven et Schubert, cf. n° 565). La plupart des gravures dataient des années 1950. Les quatre nouvelles parutions reprennent en couverture des portraits du jeune baryton, mais nous offrent des enregistrements (de radio, là encore) bien ultérieurs – la plupart renvoient aux années 1970 voire à 1989.

L'éditeur nous promet des inédits, et nous invite au jeu des comparaisons avec les studios Emi et Deutsche Grammophon de la même époque. Pas sûr qu'après Barenboim et Richter, le clavier passemuraille de Tamas Vasary justifie un retour vers des Brahms déjà honorés au mieux. A la vigoureuse clarté du chant, à la véhémente autorité des mots et à leur humanité, le piano ne répond souvent que de manière objective et plate.

Barenboim est lui bien présent et actif, mais immergé dans un ensemble mahlérien ouvertement conçu pour l'orchestre. Passés les lieder de jeunesse où la voix mixte du baryton joue les ténors déliés, la table d'harmonie du pianiste ne suffit pas dans les Rückert, moins encore dans les Chants d'un Compagnon errant ou le Knaben Wunderhorn, à calmer une certaine frustration. Reste les prouesses sans filet du chanteur en équilibre sur la crête de l'ironie blafarde.

La voix domine sans partage quand la capiteuse Julia Varady épouse à ses côtés les courbes des duos schumanniens, ceux particulièrement des Opus 37, 34 et 78, pour ténor (sic) et soprano. Retour en 1951, avec Beethoven et ses Lieder von Gellert, bien supérieurs à la relecture émaciée de 1982.

Les raretés sont à chercher du côté de Reger, de ses chants sacrés avec orgue, où la voix se diapre d'angélisme, de la catharsis religieuse du Suisse Sutermeister et enfin du grand Hindemith. Celui que ce dernier nommait son «barde» déclame comme personne la fine fleur du romantisme allemand, revisitée par le plus secret des maîtres. Rien de Fischer-Dieskau ne méritant l'oubli, on complétera la somme de ses gravures d'exception avec ces instantanés sans apprêt, images éclatées de sa haute maturité artistique.
Diapason

Rezension Diapason N° 582 Juillet-Aout 2010 | Jean Cabourg | May 28, 2010 Audite nous ouvrait en 2007 les archives de la Radio de Cologne avec un génial...

Audite nous ouvrait en 2007 les archives de la Radio de Cologne avec un génial doublet Dietrich Fischer-Dieskau (Schumann et Brahms, cf. n° 548), suivi l'an dernier de documents berlinois (cinq CD centrés autour de Wolf, Beethoven et Schubert, cf. n° 565). La plupart des gravures dataient des années 1950. Les quatre nouvelles parutions reprennent en couverture des portraits du jeune baryton, mais nous offrent des enregistrements (de radio, là encore) bien ultérieurs – la plupart renvoient aux années 1970 voire à 1989.

L'éditeur nous promet des inédits, et nous invite au jeu des comparaisons avec les studios Emi et Deutsche Grammophon de la même époque. Pas sûr qu'après Barenboim et Richter, le clavier passemuraille de Tamas Vasary justifie un retour vers des Brahms déjà honorés au mieux. A la vigoureuse clarté du chant, à la véhémente autorité des mots et à leur humanité, le piano ne répond souvent que de manière objective et plate.

Barenboim est lui bien présent et actif, mais immergé dans un ensemble mahlérien ouvertement conçu pour l'orchestre. Passés les lieder de jeunesse où la voix mixte du baryton joue les ténors déliés, la table d'harmonie du pianiste ne suffit pas dans les Rückert, moins encore dans les Chants d'un Compagnon errant ou le Knaben Wunderhorn, à calmer une certaine frustration. Reste les prouesses sans filet du chanteur en équilibre sur la crête de l'ironie blafarde.

La voix domine sans partage quand la capiteuse Julia Varady épouse à ses côtés les courbes des duos schumanniens, ceux particulièrement des Opus 37, 34 et 78, pour ténor (sic) et soprano. Retour en 1951, avec Beethoven et ses Lieder von Gellert, bien supérieurs à la relecture émaciée de 1982.

Les raretés sont à chercher du côté de Reger, de ses chants sacrés avec orgue, où la voix se diapre d'angélisme, de la catharsis religieuse du Suisse Sutermeister et enfin du grand Hindemith. Celui que ce dernier nommait son «barde» déclame comme personne la fine fleur du romantisme allemand, revisitée par le plus secret des maîtres. Rien de Fischer-Dieskau ne méritant l'oubli, on complétera la somme de ses gravures d'exception avec ces instantanés sans apprêt, images éclatées de sa haute maturité artistique.

Suche in...

...