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Edition Ferenc Fricsay (VII) – W.A. Mozart: Symphony No. 29, No. 39 & No. 40

95596 - Edition Ferenc Fricsay (VII) – W.A. Mozart: Symphony No. 29, No. 39 & No. 40

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Ferenc Fricsay was seen as an exponent of modern, detailed and precise music-making , and as a leading Mozart conductor alongside Bruno Walter and Karl Böhm. Two live recordings and one studio production from the early Fifties document the collaboration between Fricsay and “his” RIAS...more

"Auch die Aufnahmen von Mozarts Symphonien Nr. 29, 39 und 40 sind historische Perlen. Fricsay stellte bereits Anfang der Fünfzigerjahre die Weichen für ein neues Mozart-Verständnis, das sich durch extreme Klarheit, einen dramatischen Ablauf und einen konsequenten Ablauf definiert. Kein Gefühl von Lieblichkeit mag da aufkommen, er strafft die Musik, verzichtet auf Nettigkeit und zeigt Mozart unverblümt und ehrlich als einen modernen, ernsthaften und kritischen Komponisten." (Pizzicato)

Track List

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Wolfgang Amadeus Mozart Symphony No. 29 in A major KV 201 (186a) (22:08) RIAS-Symphonie-Orchester | Ferenc Fricsay

I. Allegro moderato (06:31)
III. Menuetto (03:47)
IV. Allegro con spirito (04:47)

Wolfgang Amadeus Mozart Symphony No. 39 in E-flat major KV 543 (30:09) RIAS-Symphonie-Orchester | Ferenc Fricsay

I. Adagio – Allegro (11:23)
II. Andante con moto (09:26)
III. Menuetto. Allegretto (03:58)
IV. Finale. Allegro (05:22)

Wolfgang Amadeus Mozart Symphony No. 40 in G minor KV 550 (27:12) RIAS-Symphonie-Orchester | Ferenc Fricsay

I. Molto allegro (09:16)
III. Menuetto. Allegretto (04:30)
IV. Allegro assai (04:33)

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Details

Edition Ferenc Fricsay (VII) – W.A. Mozart: Symphony No. 29, No. 39 & No. 40
article number: 95.596
EAN barcode: 4022143955968
price group: BCB
release date: 29. October 2008
total time: 79 min.

Bonus Material

Informationen

Ferenc Fricsay was seen as an exponent of modern, detailed and precise music-making, and as a leading Mozart conductor alongside Bruno Walter and Karl Böhm. Two live recordings and one studio production from the early Fifties document the collaboration between Fricsay and “his” RIAS Symphony Orchestra which, after becoming its chief conductor in 1948, he had made into an elite ensemble. These recordings also document his esteem for Mozart’s music which was characterised by a deep seriousness. Fricsay’s devotion to sculpting the melodic line finds a precise and supple medium in the meticulous and stylish RIAS Symphony Orchestra who display an astonishing quality, particularly in the live recordings.

There is a “Producer’s Comment” from producer Ludger Böckenhoff about this production available.

The production is part of our series „Legendary Recordings“ and bears the quality feature „1st Master Release“. This term stands for the excellent quality of archival productions at audite. For all historical publications at audite are based, without exception, on the original tapes from broadcasting archives. In general these are the original analogue tapes, which attain an astonishingly high quality, even measured by today‘s standards, with their tape speed of up to 76 cm/sec. The remastering – professionally competent and sensitively applied – also uncovers previously hidden details of the interpretations. Thus, a sound of superior quality results. CD publications based on private recordings from broadcasts cannot be compared with these.

Reviews

ensuite Kulturmagazin | Mai 2016 | Francois Lilienfeld | May 1, 2016 Aufnahmen mit Ferenc Fricsay (2.Teil)

Bei diesem Werk ist im Übrigen der Vergleich der beiden Fassungen des Trios im 3. Satz reizvoll: Hier die RIAS-Klarinetten mit ihrem samtweichen Ton, bei DG die Bläser der Wiener Symphoniker, die dem Wienerisch-Folkloristischen im Klang näher sind und etwas herber klingen. Die Qualität ist in beiden Fällen fabelhaft.Mehr lesen

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Bei diesem Werk ist im Übrigen der Vergleich der beiden Fassungen des Trios im 3. Satz reizvoll: Hier die RIAS-Klarinetten mit ihrem samtweichen Ton, bei DG die Bläser der Wiener Symphoniker, die dem Wienerisch-Folkloristischen im Klang näher sind und etwas herber klingen. Die Qualität ist in beiden Fällen fabelhaft.

Die Tonkunst | Juli 2013 | Tobias Pfleger | July 1, 2013 Edition Ferenc Fricsay – Werke von Haydn, Mozart, Beethoven, Rossini, Bizet, Brahms, Strauß, Verdi, Bartók u. a.

Ferenc Fricsay gehörte zu den bedeutenden Dirigenten des mittleren 20.Mehr lesen

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Ferenc Fricsay gehörte zu den bedeutenden Dirigenten des mittleren 20.

Classic Collection | THURSDAY, DECEMBER 30, 2010 | Mortimer H. Frank | December 30, 2010

Many musicians, whether conductors, soloists, or chamber groups, often feelMehr lesen

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Many musicians, whether conductors, soloists, or chamber groups, often feel

Diapason
Diapason | N° 580 S Mai 2010 | Rémy Louis | May 1, 2010 Un Hongrois à Vienne

La discographie officielle de Ferenc Fricsay pour Deutsche Grammophon est vaste et bien connue. Et pourtant, Audite nous comble en révélant cesMehr lesen

La discographie officielle de Ferenc Fricsay pour Deutsche Grammophon est vaste et bien connue. Et pourtant, Audite nous comble en révélant ces pages de Mozart et Johann Strauss gravées pour la Radio de Berlin.

Si l'édition de concerts miroirs de gravures officielles ne s'impose pas toujours (ce que l'on vérifiait tout récemment avec la Messe en ut de Mozart publiée par Tahra, cf. n° 578), l'exploration des archives radio peut ressusciter des merveilles. L'anthologie Strauss est de celles-là. Ferenc Fricsay a certes laissé des gravures pour DG (en mono et/ ou en stéréo, avec Berlin ou le RIAS/ RSO) de plusieurs de ces œuvres, mais ces onze inédits au son glorieux sont musicalement irrésistibles.

Comme Reiner ou Szell, Fricsay est hongrois (né en 1914 !) pas viennois. Enregistrant ces valses et polkas aux fins de diffusion radio, il vise moins le romanesque aristocratique d'un Clemens Krauss, moins encore les langueurs (parfois) monotones de tant de ses successeurs, qu'une présentation limpide, quasi analytique. Admirable en soi, elle se double d'une sensibilité poétique si vibrante, d'un instinct si pur du style, d'une verve rythmique si efficace que ce Johann Strauss très ciselé évoque le naturel d'un Pierre Monteux dirigeant Delibes ou Tchaïkovski. De leur côté, les timbres de l'orchestre du RIAS n'offrent pas le raffinement charmeur de ceux du Philharmonique de Vienne, mais ils ont du caractère.

Exquisément nuancés, rythme et mélodie s'accordent idéalement. Les enchaînements sont au cordeau, et la fraîcheur aérée du ton, contagieuse. Mais que survienne une modulation, un passage plus pensif, et une merveilleuse mélancolie affleure. Ecoutez seulement l'introduction de Das Spitzentuch der Königin ou de Künstler-Leben: des ritenutos et une longueur d'archet subtilement variés achèvent de donner à ce bouquet une saveur entêtante.

Un mozartien de tout premier ordre

Les mêmes qualités foncières illuminent des Mozart tout aussi inédits et bien enregistrés. Fricsay est un mozartien de tout premier ordre, partout célébré pour sa gravure de La Flûte enchantée (DG). Pourtant, deux éléments enrichissent ici l'image que l'on avait de cette partie de son répertoire: d'une part, le choix de tempos partout assez retenus (proches d'un Böhm dans la 29e, au contraire donc de l'absurde précipitation d'un Cantelli dans ces mêmes années); d'autre part, la conscience très claire qu'un dramatisme d'essence proprement symphonique n'est en rien le décalque mal taillé de la théâtralité plus extérieure propre à la fosse.

Ce chef jeune – en 1950, année d'enregistrement de la 39e, il a trente-quatre ans – laisse sourdre une mélancolie, presque une noirceur, qu'on lui connaîtra plutôt après sa maladie, au tournant des années 1960, avant la rechute qui devait l'emporter. Les gravures DG officielles avec les Wiener Symphoniker, parues en 1960-1961, ne l'expriment pas exactement de la même manière, peut-être parce que, outre le son lui-même, le grain et les timbres (les bois en particulier) en sont très différents.

Ces captations possèdent un rayonnement, une hauteur de vue, une grandeur – l'introduction Adagio de la 39 e! – , très supérieurs à ce que proposent la quasi-totalité des mozartiens pressés actuels. Aussi parce que la subtilité du détail, la cohérence et la maîtrise de l'architecture obéissent à une autre exigence, et sont le fait d'un très grand chef! Notons que, moins limité par le médium radiophonique, Fricsay observe ici les reprises de la 39e, absentes chez DG.

Apostille: réclamons à nouveau l'édition de la Symphonie n° 1 de Dutilleux donnée le 28 mai 1953 à Cologne (et conservée par la WDR) dans un programme moderne qui comportait également des compositions de Werner Haentjes et Constantin Régamey.
La discographie officielle de Ferenc Fricsay pour Deutsche Grammophon est vaste et bien connue. Et pourtant, Audite nous comble en révélant ces

American Record Guide | July/August 2009 | July 1, 2009 Mozart: Symphonies 29, 39, 40

This Hungarian conductor died young, in 1963 at less than 50. He had studied with Bartok and Kodaly but was also known as a Mozart specialist andMehr lesen

This Hungarian conductor died young, in 1963 at less than 50. He had studied with Bartok and Kodaly but was also known as a Mozart specialist and recorded some of the operas as well as these symphonies. In fact, DG recorded these three symphonies at about the same time these recordings were made by the Berlin Radio; but DG used the Vienna Symphony. The Berlin Radio Orchestra (RIAS – Radio in the American Sector) was his own group, so these may be better than the DG recordings, which probably have not been issued on CD anyway. […]
This Hungarian conductor died young, in 1963 at less than 50. He had studied with Bartok and Kodaly but was also known as a Mozart specialist and

Fanfare | Issue 32:6 (July/Aug 2009) | Mortimer H. Frank | July 1, 2009

Many musicians, whether conductors, soloists, or chamber groups, often feel more comfortable—and do their best work—in front of an audience ratherMehr lesen

Many musicians, whether conductors, soloists, or chamber groups, often feel more comfortable—and do their best work—in front of an audience rather than in the recording studio. But you would never know it from this release. The two live performances featured here (Nos. 29 and 40) can best be described, respectively, as deadly and deadlier. This is as strange an account of 40 as I have ever heard. Most striking is the first movement, an Allegro molto in “two.” Fricsay leads it as Allegretto moderato in “four.” It’s almost as if he were reacting against Furtwängler’s 1948 recording, which, indeed offered a refreshingly fleet two-to-the bar tempo. Only in the last two movements do things come (comparatively) to life. If No. 29 is not quite so extreme in its heavy-handedness, it nonetheless lacks the buoyancy that the music demands.

But in No. 39, the one work here recorded in the studio (in 1950), Fricsay gave a performance as fine as any I know, one in which the music’s contrasts of lyric gentleness and affirmative thrust are conveyed superbly. And the instrumental balance is first-rate, winds cutting through the texture to clarify significant detail often lost in recordings of the period. According to the insert notes, it was made for Deutsche Grammophon. Oddly, however, I could find no reference to it either in old Schwann catalogs or in WERM, which suggests that it may never have been released in English-speaking countries. It is certainly the kind of Mozart one would expect from Fricsay, who left justly admired recordings of the composer’s C-Minor Mass and Abduction from the Seraglio.

In all three recordings here, the sound is slightly metallic in string tone, but otherwise fine for its time. In No. 29, Fricsay observes exposition repeats in outer movements; in Nos. 39 and 40, only in the first movement. Whatever its shortcomings, for those interested in the conductor or in a splendid No. 39, this release is worth having.
Many musicians, whether conductors, soloists, or chamber groups, often feel more comfortable—and do their best work—in front of an audience rather

Gramophone
Gramophone | June 2009 | Lindsay Kemp | June 1, 2009

Elegant Mozart combines fine interpretations with slick playing technical untidinesses liable to occur in any live situation, but more important thanMehr lesen

Elegant Mozart combines fine interpretations with slick playing technical untidinesses liable to occur in any live situation, but more important than that is the fact that these are readings rich with class and understanding. Fricsay may have trained his orchestra to play the notes faultlessly first and then put the expression in afterwards (so the booklet-notes tell us) but the end result is organic, living, breathing Mozart, classical in flavour yet balanced with just the right amount of tender romantic warmth and love. The string tone in particular is clean and untainted by routine vibrato yet never risks undernourishment; the opening movements of Symphonies Nos 29 and 40 are a touch slower than usual yet suffer no loss of grace or momentum (even when Fricsay stamps his foot in No 40 he does so with elegance!); and the first movement of No 39 achieves a Beethovenian breadth and strength, especially in its slow introduction. Elsewhere, the slow movements themselves unfold serenely with a wealth of light-handed interpretative detail, and minuets are bold but buoyant. Bright and clear sound belies the recording's age, leaving the way open to appreciate just what finely wrought Mozart this is.
Elegant Mozart combines fine interpretations with slick playing technical untidinesses liable to occur in any live situation, but more important than

Scherzo
Scherzo | mayo 2009 | Enrique Pérez Adrián | May 1, 2009 Fricsay,Karajan

Sigue la extraordinaria Edición Frícsay en el sello alemán AuditeMehr lesen

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Audiophile Audition
Audiophile Audition | April 2009 | Gary Lemco | April 12, 2009

Live and studio recordings from the RIAS archives featuring Ferenc FricsayMehr lesen

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www.classicstodayfrance.com
www.classicstodayfrance.com | Janvier 2009 | Christophe Huss | January 10, 2009

L'interprétation mozartienne a évolué plus que d'autres, mais lesMehr lesen

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L'interprétation mozartienne a évolué plus que d'autres, mais les

Pizzicato
Pizzicato | 1/2009 | Alain Steffen | January 1, 2009 Abenteuer Musik

Wenn es derzeit einen Preis für die interessantesten Booklets geben würde, so wäre meine Wahl schnell gefallen. Anstatt die immergleichenMehr lesen

Wenn es derzeit einen Preis für die interessantesten Booklets geben würde, so wäre meine Wahl schnell gefallen. Anstatt die immergleichen langweiligen und theoretischen Werkeinführungen zu lesen, ist es eine reine Freude, dass uns die Firma Audite endlich mit musikhistorischem Hintergrundmaterial versorgt und so auf die Künstler, Orchester und Aufnahmebedingungen detailliert eingeht. Somit rückt Audite die Aufnahme selbst in den Mittelpunkt und reiht nicht nur eine historische Aufnahme an die andere. Demnach sind die Erklärungen zu den drei uns hier vorliegenden Fricsay-Einspielungen für den Liebhaber enorm interessant und lassen die Aufnahmen in einem ganz anderen Licht erscheinen. Die Gesamtaufnahmen von Mozarts Entführung und Johann Strauß Fledermaus, beide 1949 eingespielt, waren zwar schon bei anderen Firmen erhältlich, werden aber durch sorgfältige Aufbereitung der Audite-Produktionen weit übertroffen.

Fricsays ‚Entführung’ von 1949 ist der fünf Jahre späteren DGG-Aufnahme in meinen Augen leicht überlegen. Sie ist in erster Linie lebendiger und spontaner, berührt und amüsiert weitaus mehr als die etwas steril und kontrolliert anmutende Produktion von 1954. Sari Barabas ist eine leichte und sehr lyrische Konstanze, Anton Dermota ein geschmeidiger und stilvollendeter Belmonte, Rita Streich gibt die wohl beste Blondchen der Schallplattengeschichte während Helmut Krebs als Pedrillo keine Wünsche offen lässt. Josef Greindl ist als Osmin einfach köstlich, allein seine stimmgewandte Interpretation ist die Anschaffung dieser Doppel-CD wert.

Fricsays Fledermaus stand immer etwas im Schatten von den beiden Wiener Produktionen unter Clemens Krauss und Herbert von Karajan. Eigentlich zu unrecht, wie man leicht feststellen kann. Die Dialogregie von Heinz Tietjen, der sich ebenfalls für die Dialoge bei der Entführung verantwortlich zeigte, ist vorzüglich, der Gesang besitzt allerhöchstes Niveau, wenn auch der Einstein von Peter Anders (wie auch der von Patzack unter Krauss) Geschmackssache bleibt. Fricsay distanziert sich in seinem virtuosen Dirigat von der typisch wienerischen Operette und zeigt, dass man mit straffen Tempi und markanten Akzenten diese Oper erst gar nicht in die Nähe des Kitsches bringen muss.

Auch die Aufnahmen von Mozarts Symphonien Nr. 29, 39 und 40 sind historische Perlen. Fricsay stellte bereits Anfang der Fünfzigerjahre die Weichen für ein neues Mozart-Verständnis, das sich durch extreme Klarheit, einen dramatischen Ablauf und einen konsequenten Ablauf definiert. Kein Gefühl von Lieblichkeit mag da aufkommen, er strafft die Musik, verzichtet auf Nettigkeit und zeigt Mozart unverblümt und ehrlich als einen modernen, ernsthaften und kritischen Komponisten. Ein Mozart-Bild, das sicherlich nicht von seinen Kollegen Furtwängler, Walter und Karajan geteilt wurde. Nur Otto Klemperer hatte vor Harnoncourt und Co. den gleichen Mut, Mozart von dieser Schiene der Gefälligkeit abzubringen.

Demnach sind alle drei Produktionen wichtige musikhistorische Dokumente, die wir heute als richtungsweisend erkennen und aus denen wir auch jetzt noch lernen können. Die drei Mozart-Symphonien und die Entführung besitzen darüber hinaus einen wirklichen Referenzcharakter. Und dank eines an sich hervorragenden Klanges kann man sich diese Aufnahmen mit allergrößtem Vergnügen anhören. Eine Firma wie Audite kann man nur ermutigen, so weiter zu machen und dem Musikliebhaber weitere Schätze zugänglich zu machen.
Wenn es derzeit einen Preis für die interessantesten Booklets geben würde, so wäre meine Wahl schnell gefallen. Anstatt die immergleichen

Saarländischer Rundfunk
Saarländischer Rundfunk | SR 2 KulturRadio, CD-Neuheiten - 13.12.2008, 16:00 | Friedrich Spangemacher | December 13, 2008

Unsere erste Station führt uns ca. 50 Jahre zurück, zu Ferenc FricsaysMehr lesen

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Unsere erste Station führt uns ca. 50 Jahre zurück, zu Ferenc Fricsays

Journal de la Confédération musicale de France
Journal de la Confédération musicale de France | Décembre 2008 | December 1, 2008

Les symphonies de Mozart par Fricsay sont de la même classe, un peu sagesMehr lesen

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Les symphonies de Mozart par Fricsay sont de la même classe, un peu sages

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